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Où mettre le curseur ? Un podcast enregistré avec Quentin de Mauroy de Tranquille Émile

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« C’est une histoire de curseur. »

C’est probablement la phrase qui revient le plus souvent dans cet épisode du podcast “Sobriété & Marketing…possible ?” enregistré avec Quentin de Mauroy, le co-fondateur de Tranquille Émile.

Tranquille Émile, c’est une marque de vêtements et d’accessoires fabriqués intégralement en France. En tout cas, tout ce qui peut être fabriqué en France est fabriqué en France et sans concession. D’entrée de jeu, Quentin insiste sur son exigence du localisme, quitte à diminuer la marge.

Quentin définit le marketing comme différentes actions qui permettent de créer le besoin. Mais, dans un monde qui doit être plus sobre, est-ce justement quelque chose que les marques ne doivent plus faire ?

Où mettre le curseur ?

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Sans marketing, qui va montrer que mon produit est plus sobre qu’un autre ? Comment résister à l’envie de vendre plus, de gagner plus d’argent ? Comment faire évoluer sa marque sans renier ses valeurs ? Sans marketing, comment changer les paradigmes de la consommation ? Comment transformer un besoin en consommation responsable ? Ce sont toutes les questions que j’ai posé à Quentin.

Une histoire de curseur donc.

  • Dans son marketing, Tranquille Émile va mettre en avant des visuels qui seront toujours accompagnés d’un texte mettant en avant la production française.
  • Tranquille Émile, c’est 150 références (vêtements et accessoires confondus). Pas de fast fashion donc mais des collections qui se veulent toujours plus intemporelles.
  • Pas de black friday mais des soldes parfois, appelées d’ailleurs “des responsoldes”, et uniquement sur des produits en fin de vie.
  • Des techniques d’abandon de panier et de retargeting mais pas des campagnes ads à tout va.
  • Des campagnes marketing pour “rester dans la tête des gens” et faire passer le message du made in France et de la maîtrise de l’empreinte carbone.
  • Un programme de fidélité oui, mais avec un ciblage qui n’est pas basé sur le panier d’achat et où l’on ne propose pas des réductions mais un cadeau sur la prochaine commande.
  • Un juste calcul du volume de commande en fonction de ce qui a été vendu l’année précédente. On parle aussi de la difficulté de passer à un business model de la pré-commande et ce qu’il impacte sur le planning et l’organisation de la chaîne de valeurs.

Bref, une discussion très transparente, j’espère qu’elle vous plaira.

Bonne écoute !

Cet enregistrement est aussi disponible sur toutes les plateformes de podcast :

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