Triggers et notifications email : Quelques bases théoriques avant de vous lancer !

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Qui n’a jamais été émerveillé (ou agacé) par ces emails d’Amazon vous annonçant la sortie du nouveau bouquin d’un auteur dont vous aviez acheté le premier livre quelques mois plus tôt ? Pourtant, alors que c’est une pratique qui a plus de 15 ans chez certains, force est de constater que ce n’est pas si simple pour de nombreux annonceurs.

Pourquoi ? Manque de données, manque d’outils, … ou de bases théoriques. Lancer ce chantier du trigger et de la notification par email commence souvent par une séance de brainstorming, voici quelques bases pour bien démarrer.

Comment est déclenché l’envoi d’un email ?

Cela n’a pas de lien direct avec notre sujet, mais c’est une bonne manière de remettre en contexte ce que l’on va voir pour la suite. Il y a trois grands groupes de conditions qui peuvent déclencher l’envoi d’un email :

  • Push the button ! : C’est évidemment le cas le plus fréquent, vous préparez votre newsletter ou votre email de promo et vous poussez sur le bouton pour envoyer à tous les destinataires sélectionnés.
  • Exécution tous les X temps : Votre email est envoyé par exemple tous les jours à 10h. Chaque jour, le système de gestion de campagne vérifie quels sont les destinataires qui remplissent les conditions définies (et éventuellement qui n’ont pas encore reçu l’email en question).
  • En attente d’évènement : C’est le cas qui nous intéresse. La campagne attend les données, dès que le contexte défini est rencontré pour l’un des contacts présent dans la base de donnée, l’email est envoyé vers celui-ci.

Plusieurs types de triggers !

Maintenant que l’on a posé les bases, passons à l’étape suivante. Lorsque l’on parle de triggers, on parle souvent de deux choses différentes :

  • Les emails transactionnels : Ce sont des emails pour lesquels vous n’avez pas besoin d’optin de la part de vos destinataires. Ils sont envoyés suite à une transaction ou à une demande consciente de la part de l’internaute (confirmation d’inscription, confirmation d’achat, …).
  • Les notifications : Pour ceux-ci, vous avez besoin d’une permission préalable de la part de votre destinataire. Ces emails sont envoyés à de fins marketing et n’ont pas forcément été demandés par le destinataire.

Les déclencheurs d’une notification

Tout part toujours d’une donnée et on peut en distinguer deux grandes catégories :

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  • Le comportement de l’internaute : Il peut s’agir d’une ouverture ou d’un clic (ou de leur absence) dans un email précédemment envoyé, d’une visite sur un site web (avec par exemple l’identification d’une catégorie d’intérêt), d’un seuil atteint (points de fidélité, nombre de transactions,…), d’un panier abandonné ou encore d’une donnée historique comme un anniversaire ou un achat passé.
  • Un évènement externe que l’on peut relier au profil du lead : Dans ce cas, on peut avoir à faire à de très nombreuses possibilités. Par exemple, la disponibilité d’un nouveau produit, l’actualité liée à un centre d’intérêt, la météo, le traffic routier, une grève, …

De manière générale, pour améliorer les créativité de votre brainstorming sur les triggers, n’hésitez pas à explorer toutes les données générées par les différents « capteurs » disponibles dans votre entreprise.

Quels avantages ont les triggers et les notifications ?

Du point de vue de la production :

  • Cela permet une réflexion globale et posée en amont de la création des process marketing.
  • Une automatisation qui permettra aux équipes de gagner du temps et de se focaliser sur l’optimisation des résultats plus que sur le production au jour le jour.

Mais il n’y a pas que des avantages pour la gestion de la production, il y en a aussi pour le destinataire et les performances :

  • Plus de pertinence : on respect ici les principes de base du marketing direct, le bon message, au bon moment, vers la bonne personne.
  • Une pression marketing plus adaptée à l’activité de l’internaute.
  • Un engagement plus fort vis à vis de la marque, ce qui est une très bonne chose pour la délivrabilité.
  • Des taux d’ouverture et de clic qui sont largement suppérieurs à ce qui se voit avec une newsletter classique.

Pour terminer, dans vos triggers, ne pensez pas uniquement promo ! Pensez à votre business, à ce qu’il raconte et inspire. Et pour autant, le trigger ne signifie pas la fin du « one shot » 🙂

 

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